Du lac de Serre-Ponçon à la Haute Ubaye
L'Ubaye et ses communes
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Carte de la Vallée de l’Ubaye
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Saint-Paul-sur-Ubaye
Saint-Paul-sur-Ubaye
Errances à Saint-Paul-sur-Ubaye
Marcher quelques instants sur la route étroite comme un chemin ; franchir l’Ubaye par le pont du Chatelet à la parfaite courbe de pierres.
La Condamine-Châtelard
La Condamine-Châtelard
La Condamine-Châtelard – vallée de l’Ubaye
La Condamine-Châtelard est un village composé de plusieurs hameaux, dont le plus ancien est Le Châtelard, qui domine la vallée.
Jausiers
Jausiers
Jausiers – vallée de l’Ubaye
La culture et la nature sont deux aspects essentiels de l’identité et du charme de Jausiers. La culture témoigne de l’histoire et des traditions du village, qui ont façonné son patrimoine et sa vie locale.
Enchastrayes
Enchastrayes
Enchastrayes – vallée de l’Ubaye
Enchastrayes : C’est aussi la station du Sauze lancée le 18 juillet 1943 qui aurait pu s’étendre au-delà de la montagne de l’Alp dans les années 70.
Uvernet-Fours
Uvernet-Fours
Uvernet-Fours – vallée de l’Ubaye
Né de la fusion des deux communes Uvernet et Fours en 1 973, le village principal est niché à la naissance des gorges du Bachelard sur la route du col de la Cayolle.
Les Thuiles
Les Thuiles
Les Thuiles – vallée de l’Ubaye
Pour le voyageur qui arrive par la route de Gap, c’est au village des Thuiles (moins de 400 habitants) qu’il découvre que la vallée s’élargit pour s’ouvrir sur la plaine de Barcelonnette.
Le Lauzet Ubaye
Le Lauzet Ubaye
Le Lauzet Ubaye – vallée de l’Ubaye
Porte d’entrée de la Vallée, le Lauzet-Ubaye s’étend des rives du lac de Serre-Ponçon au sommet de Dormillouse. Le cœur du village est blotti au pied du verrou glaciaire formé par les rochers qui ont résisté à l’assaut du glacier, qui, il y a 20 000 ans, couvrait la Vallée.
Val d’Oronaye
Val d’Oronaye
Val d’Oronaye – vallée de l’Ubaye
Créée en 2016, grâce au regroupement des villages de Larche et Meyronnes, la commune de Val
d’Oronaye est située à l’extrême Est de la Vallée. Le col de Larche marque la frontière avec l’Italie.
Ubaye-Serre-Ponçon
Ubaye Serre Ponçon
Ubaye-Serre-Ponçon – vallée de l’Ubaye
Historiquement, La Bréole et Saint-Vincent-les-Forts ne partagent que peu de chose avec la haute vallée, plutôt en contact avec la Provence et le Dauphiné dont ils sont le passage obligé.
Barcelonnnette
Barcelonnette
Barcelonnette – vallée de l’Ubaye
Barcelonnette, appelée capitale de l’Ubaye, n’est cependant pas la plus ancienne cité de la vallée. Elle ne fut fondée qu’au XIIIe siècle, par la fusion des communautés de Faucon et de Saint-Pons, sous l’autorité de Raimond-Bérenger V, comte de Provence et de Barcelone.
L'Ubaye et ses communes - la carte
Association Sabença de la Valéia
Culture et Nature en Ubaye.
Barcelonnette Culture et Nature en Ubaye
Saint-Paul-sur-Ubaye Culture et Nature en Ubaye
Le Lauzet-Ubaye Culture et Nature en Ubaye
La Condamine-Châtelard Culture et Nature en Ubaye
Enchastrayes Culture et Nature en Ubaye
Jausiers Culture et Nature en Ubaye
Les Thuiles Culture et Nature en Ubaye
Uvernet-Fours – vallée de l’Ubaye
Ubaye-Serre-Ponçon – vallée de l’Ubaye
Les villages de la vallée de L'Ubaye
La Condamine-Châtelard
La Condamine-Châtelard – vallée de l’Ubaye
La Condamine-Châtelard est un village composé de plusieurs hameaux, dont le plus ancien est Le Châtelard, qui domine la vallée. Sa situation, au carrefour de trois routes, une vers la basse vallée de la Durance par l’Ubaye, une autre vers la haute vallée de la Durance par le col de Vars et Embrun, et une autre vers l’Italie par le col de Larche en font un point de passage particulièrement stratégique tout au long de l’histoire. Cela explique la présence du fort de Tournoux, une impressionnante forteresse militaire construite à la fin du XIXe siècle pour protéger l’Ubaye des attaques de l’Italie. Le fort s’étend sur plus de 700 m de dénivelé, accroché à la falaise. Il est surnommé le “Versailles militaire”. La balade du Tour des Chapelles allie patrimoine et nature de façon agréable en permettant aux visiteurs de faire le tour des hameaux et de leurs édifices religieux.
La Condamine-Châtelard est aussi un lieu idéal pour les amateurs de nature et de sport. En été, il offre de nombreux itinéraires de randonnée pédestre ou VTT, comme le Tour du Grand Bérard ou le col du Parpaillon. Ce dernier permet de rejoindre les Hautes-Alpes par un tunnel taillé dans la roche à plus de 2 600 m d’altitude. En hiver, le village dispose d’une station-village familiale, Sainte-Anne, qui, pour de nombreuses générations d’enfants, est le lieu des premières sensations de glisse. La Condamine-Châtelard est donc un village de l’Ubaye qui allie patrimoine, culture et nature, dans un cadre exceptionnel en offrant une diversité d’activités et de découvertes en été comme en hiver.
Enchastrayes
Enchastrayes – vallée de l’Ubaye
Enchastrayes : C’est aussi la station du Sauze lancée le 18 juillet 1943 qui aurait pu s’étendre au-delà de la montagne de l’Alp dans les années 70. C’est une vaste commune qui abrite une flore riche du lys martagon, des « sangaris », épinards sauvages dont on fait des tourtes, des prunelles de Briançon, les « afatous » les genévriers qui cachent d’anciens pièges à grives, les lèques …On peut y observer des cervidés, des tétras, rares, des lagopèdes, des rapaces et…des loups, des fossiles serpentiformes mystérieux, les helminthoïdes. Enchastrayes et ses hameaux ce sont surtout des familles ici depuis des siècles auxquelles se sont jointes au début du XXe siècle celles venues du Piémont italien, de la Stura, Maïra… C’est une Histoire marquée par des constructions remarquables comme le tunnel de Terres Plaines long de 530m, d’autres plus discrètes dont il ne reste que des vestiges, des fours à pain, des meules de moulins, des canaux d’arrosage multi centenaires, des chemins oubliés.
Jausiers
Jausiers – vallée de l’Ubaye
La culture et la nature sont deux aspects essentiels de l’identité et du charme de Jausiers. La culture témoigne de l’histoire et des traditions du village, qui ont façonné son patrimoine et sa vie locale. Elle se manifeste notamment à travers l’architecture et les monuments, comme l’église baroque du XVIIème siècle, Saint Nicolas de Myre, classée monument historique, les villas mexicaines construites par les émigrés revenus riches d’Amérique, ou le musée de la vallée qui retrace l’histoire et les traditions locales.
La nature offre un cadre exceptionnel et varié, qui invite à la découverte et au respect de l’environnement. Elle se révèle dans la diversité des paysages et des activités qu’elle offre, comme les nombreux vallons et sommets, le col de la Bonette-Restefond qui est la route la plus haute d’Europe, le Parc national du Mercantour qui abrite une faune et une flore exceptionnelles, ou encore les nombreuses randonnées, sports d’hiver, ou sports d’eau vive possibles dans la vallée de l’Ubaye et au départ de Jausiers.
Nature, culture et patrimoine se complètent et se valorisent mutuellement, créant une harmonie entre le passé et le présent, l’homme et la nature. La culture et la nature se rejoignent aussi dans les produits du terroir, fruit du savoir-faire de l’environnement et des Hommes, valorisés à la Maison des Produits de Pays,avec plus de 80 producteurs – coopérateurs ubayens et des Alpes de Haute Provence. Culture, nature et patrimoine sont donc des richesses à préserver, à partager et à transmettre, qui font de Jausiers un village unique et attachant.
Les Thuiles
Les Thuiles – vallée de l’Ubaye
Pour le voyageur qui arrive par la route de Gap, c’est au village des Thuiles (moins de 400 habitants) qu’il découvre que la vallée s’élargit pour s’ouvrir sur la plaine de Barcelonnette. Les Thuiles-Hautes et Thuiles-Basses sont séparées par la D900, rendant le village étiré du Nord Ouest au Sud-Est. Depuis la route se rendant aux hameaux de Miraval et des Prats, apparaît une vue très spécifique d’un des sommets emblématiques de la vallée (vers le sud) : la Grande Séolane (2909 m). Au Nord, le village est surplombé par les Plastres (2686 m) et une belle randonnée peut être faite jusqu’à l’Aupillon (2916 m) en passant par le lac éponyme.
D’anciennes fabriques de poteries ont donné son nom aux Thuiles, l’église Saint Martin date du XVIIIème siècle (certaines parties du XVIème). De l’autre côté de l’Ubaye, au départ du vallon de Gimette, une ancienne scierie était encore exploitée dans les années 70 et a laissé place à une vaste aire de loisirs et pique-nique. L’ubac du village est boisé d’une immense forêt dense composée principalement de mélèzes et d’épicéas.
Uvernet-Fours
Uvernet-Fours – vallée de l’Ubaye
Né de la fusion des deux communes Uvernet et Fours en 1 973, le village principal est niché à la naissance des gorges du Bachelard sur la route du col de la Cayolle. Une commune qui compte de nombreux hameaux disséminés dans un écrin de biodiversité remarquable. En 1 683 des entrepreneurs de Jausiers, possédant des boutiques de textile à Cunéo, construisirent près du Bachelard à Uvernet, une filature, « le filadour » dans laquelle on produisait de la soie à partir de cocons rapportés du Piémont. 120 quintaux de soie étaient produits chaque année, envoyés ensuite à Lyon pour y être tissés. Cent-vingt personnes travaillaient là, des femmes et quelques enfants qui logeaient près du moulin. D’autres moulins à huile ou à farine prenaient place le long du torrent du Bachelard, leurs vestiges ont été retrouvés et valorisés. Ils sont visibles sur un sentier de découverte. En 1 761, un filon de galène fut découvert à la Malune où un petit site minier fut exploité puis abandonné en 1 786, faute de productivité. Dans les années soixante , l’économie du ski se développe et la station de Pra Loup voit le jour.
Le Lauzet Ubaye
Le Lauzet Ubaye – vallée de l’Ubaye
Porte d’entrée de la Vallée, le Lauzet-Ubaye s’étend des rives du lac de Serre-Ponçon au sommet de Dormillouse. Le cœur du village est blotti au pied du verrou glaciaire formé par les rochers qui ont résisté à l’assaut du glacier, qui, il y a 20 000 ans, couvrait la Vallée. Derrière ce verrou, le glacier a creusé des roches plus tendres formant ainsi un lac dans lequel les mélèzes, les Séolanes et le village se reflètent. Des hameaux sont dispersés sur les hauteurs, espaces ouverts souvent bordés de ravins façonnés par les torrents.
Ici l’Ubaye passe dans des gorges profondes aux courants rapides et les Cascades de Costeplane, curiosité naturelle des eaux pétrifiantes, ont une forte valeur écologique et paysagère.
L’histoire a marqué ce territoire avec le Pont Romain (en fait médiéval) pont de pierre en ogive à 40m au dessus de la rivière, le site du Pas de la Tour qui, avec ses Tourniquets, marquait la frontière entre le Duché de Savoie et la Provence jusqu’en 1713, et la Voie –chantier inachevé- qui a profondément modifié le paysage et l’histoire du village.
Saint-Paul-sur-Ubaye
Errances à Saint-Paul-sur-Ubaye
Marcher quelques instants sur la route étroite comme un chemin ; franchir l’Ubaye par le pont du Chatelet à la parfaite courbe de pierres ; peu après le tunnel, prendre à gauche le sentier qui remonte la pente raide au travers des mélèzes et rejoindre, en une demi-heure, le paysage si harmonieux de Fouillouse.
De là-haut, les lignes électriques, stupidement enchevêtrées, sont invisibles. Un jour – heureux – elles disparaîtront peut-être… Si, chance, l’église est ouverte, quelques fresques du XVI e siècle vous raconte l’histoire du hameau d’où est originaire le père d’Henri Grouès (l’abbé Pierre) !
Partout de l’eau, des lacs, des zones humides, des ruisseaux. Et même un glacier, celui du Marinet, le plus au sud des Alpes. Au pied de la chaîne de l’aiguille de Chambeyron, peu à peu envahi de pierres et devenant glacier rocheux, il témoigne de la lente histoire de nos paysages, de leur évolution au fil d’un temps sans cesse plus chaud.
Au col Longet, sur la frontière italienne, les lacs s’emparent du ciel et le Viso de l’horizon. L’Ubaye s’échappe pour courir vers l’ouest et la Durance. Au passage, elle use les rochers, illumine les hameaux successifs. En hiver, au tout début des années 60, un instituteur vécut sa première mission d’enseignant avec quatre élèves, dans un de ces hameaux, à la Barge. Le chasse-neige s’arrête alors 8 km plus bas et Jean-Louis Carribou loge au sein d’une famille, il goute au bonheur de la montagne. Il vient de raconter sa découverte, ses émotions, dans un livre, Au Bout du monde, réédité par La Sabença.
Maljasset, non pas un « mauvais jas ou gîte », mais un refuge du CAF, deux maisons d’hôtes et un très beau cadran solaire dans ce hameau en aval du col Longet et de la carrière de marbre vert de Maurin, un marbre antique extrait du Ve au XXe siècles. Maljasset, premier obstacle aux invasions italiennes venus du col Mary.
Monter vers le col de Vars, pour chercher encore l’horizon. Et tenter de découvrir une anémone très peu fréquente dans la vallée, aux fleurs d’un bleu intense, qui, chaque printemps, semblent naître pour repousser la neige. La Pulsatille de Haller.
À Saint-Paul, un musée raconte la vie d’autrefois à travers Outils, gestes et travaux. Il tente non pas seulement de rappeler un passé toujours étonnant, mais surtout de nous inciter à imaginer ce que pourrait être un avenir prometteur.
Mille autres errances sont à inventer sur les chemins de la commune la plus étendue de la vallée…
Val d'Oronaye
Val d’Oronaye – vallée de l’Ubaye
Créée en 2016, grâce au regroupement des villages de Larche et Meyronnes, la commune de Val
d’Oronaye est située à l’extrême Est de la Vallée. Le col de Larche marque la frontière avec l’Italie.
Elle aurait pu se nommer Vallée de l’Ubayette puisque celle-ci prend sa source dans le lac du
Lauzanier. Haut lieu de la vallée, très frequenté pour la randonnée familiale, la présence
marmottesdans ce vallon fait la joie des enfants qui peuvent découvrir facilement l’animal au bord
du chemin.
Côté nature, une superbe forêt de mélèzes rive gauche, les prairies de fauche rive droite, les
paturages et les sommets rocheux nombreux jusqu’à plus de 3000 m .
Elle est une des 4 communes de la Vallée intégrées au Parc National du Mercantour pour son interêt
patrimonial naturel.
Côté culture : l’histoire de l’Ubayette est marquée par les passages de cols. Franchis à pied ,à cheval
et en voiture (ou camion), ils sont les témoins d’échanges constants entre la Stura et L’Ubaye depuis
les Savincates premiers habitants de la vallée : chasseurs, bergers, ouvriers agricoles, commerçants
traversaient pour vendre, acheter, troquer…
L’histoire économique de la vallée est étroitement liée à la transhumance qui a façonné les
paysages.L’exploitation des pâturages d’altitude a longtemps permis de maintenir le fragile équilibre
de l’économie locale, désormais complétée par le tourisme.
Côté architecture, les villages ayant été totalement détruits en 1945, les fermes reconstruites ont été
pensées pour répondre aux besoins d’hébergement des hommes et des bêtes de façon efficace
laissant de côté l’esthétique. Mais on trouve des batiments originaux comme les églises de Larche et
Maison Méane.
Les fortifications, construites à partir du 19ème siècle, occupées jusqu’à la deuxième guerre mondiale,
complètent la partie sud de la Ligne Maginot et témoignent de l’importance de cette frontière. Les
forts de Saint Ours et Roche La Croix sont ouverts à la visite durant la saison d’été.
Ubaye-Serre-Ponçon
Ubaye-Serre-Ponçon – vallée de l’Ubaye
Historiquement, La Bréole et Saint-Vincent-les-Forts ne partagent que peu de chose avec la haute vallée, plutôt en contact avec la Provence et le Dauphiné dont ils sont le passage obligé.
La reddition de 1388 lors de laquelle la Haute-Ubaye se donne à la Savoie réduit encore les contacts car la Basse-Ubaye reste fidèle à la Provence et les incessants conflits entre les cousins adversaires, le roi de France et le duc de Savoie, n’arrangent rien. Pour se protéger de l’envahissant voisin, Vauban fortifiera les ruines médiévales de Saint-Vincent, idée que reprendra Séré de Rivières en 1890 en étendant les ouvrages défensifs, lesquels existent toujours.
Finalement ce sont les routes qui uniront l’Ubaye. Depuis la fin du XIXe siècle, une belle complémentarité de territoire a vu le jour, transcendée en 1960 par la mise en eau du barrage de Serre-Ponçon.
La commune nouvelle d’Ubaye-Serre-Ponçon formée des villages de La Bréole et de Saint-Vincent-les-Forts est au cœur d’un écosystème préservé qui propose une gamme impressionnante de sports de plein air et est doté d’un tissu artisanal dynamique.
Michel Turco
Barcelonnette
Barcelonnette – vallée de l’Ubaye
Barcelonnette, appelée capitale de l’Ubaye, n’est cependant pas la plus ancienne cité de la vallée. Elle ne fut fondée qu’au XIIIe siècle, par la fusion des communautés de Faucon et de Saint-Pons, sous l’autorité de Raimond-Bérenger V, comte de Provence et de Barcelone. C’est lui qui lui donne son nom, Barcelone de Provence, qui deviendra ensuite Barcelonnette. Une ville construite en damier et protégée par une enceinte de 22 tours et quatre portes. Un couvent des Dominicains s’y installe en 1316 dont il ne reste aujourd’hui qu’une tour : la tour Cardinalis. Au cours de son histoire la ville changera plusieurs fois de « mains », sa position stratégique au carrefour du Dauphiné, du Piémont et de la Provence en fait un enjeu que se disputent rois de France et ducs de Savoie. C’est le traité d’Utrecht en 1713, qui attribuera définitivement la ville et la vallée de Barcelonnette au royaume de France. Tout d’abord chef-lieu de quatre cantons elle devient sous-préfecture en 1800. Au XIXe et XXe siècle, durant une soixantaine d’années, de nombreux Barcelonnettes émigrent vers le Mexique où certains feront fortune dans le commerce. À leur retour, ils bâtissent d’élégantes villas qui font la particularité architecturale de la ville. On leur doit aussi le cimetière aux tombes monumentales, qui, grâce aux marbriers et sculpteurs, est un véritable musée à ciel ouvert.
La Vallée de l'Ubaye
À la découverte des trésors naturels et culturels de la vallée de l’Ubaye
Des paysages de montagne époustouflants aux anciennes forteresses, La Vallée de l’Ubaye a tout pour plaire. Explorez les trésors naturels et culturels de Barcelonnette au Lauzet.
La Vallée de l’Ubaye est une région à couper le souffle du sud-est de la France dans les Alpes de Haute Provence, connue pour ses magnifiques paysages de montagne et son riche patrimoine culturel. Des anciennes forteresses aux villages pittoresques, les trésors naturels et culturels ne manquent pas dans cette belle région. Que vous soyez un amoureux de la nature ou un féru d’histoire, La Vallée de l’Ubaye saura captiver votre imagination.
Notre sélection de livres édités par l’association :
Forts de Roche-la-Croix et du Haut de Saint-Ours
La ligne Maginot en Haute-Ubaye
Bernard Morel, Gérard LesueurL’histoire de la construction du fort, son architecture, des plans, ses moyens de défense et son rôle dans la guerre sur la ligne Maginot.
21×29,7 cm, 32 p. ill. n&b, 1991 – reprint 2016.
Prix : 7,50 € – port : 2,80 €
ISBN : 978 2 9081 0305 2
4ème édition.
Le Fort de Tournoux
Son histoire, sa construction
Bernard MorelTournoux avait été repéré et utilisé depuis longtemps par les militaires – peut-être dès les romains – et à la fin du XIXème siécle, il devint le pivot d’un dispositif stratégique échelonné sur toute la vallée de l’Ubaye – dispositif confirmé et mis à jour lors du programme Maginot.
21×29,7 cm, 42 pages. n&b, 2014.
Ref : prix : 8 € – port : 2,80 €
ISBN : 978 2908 103 663
2ème édition augmentée.
Torrents de l'Ubaye
21×29,7 cm, 48 p. 38 ill. 2000.
Ref : Sab 016 – prix : 9,15 € – port : 2,80 €
ISBN : 2-908103-25-7
Géologie de l'Ubaye
21×29,7 cm, 32 p. 38 ill. couleurs, 1997.
3e édition 2010.
Ref : Sab 012 – prix : 7,50 € – port : 2,80 €
ISBN : 2-908103-23-0
L'église des Thuiles
21×29,7 cm, 32 p. 1996.
Ref : Sab 010 – prix : 6,90 € – port : 2,80 €
ISBN : 2-908103-20-6
Glaciers et glaciers rocheux de l'Ubaye
Au cours des millénaires, ils ont modelé les paysages de notre vallée et laissé de nombreuses traces de leur présence. Quand et comment se sont-ils formés ? Comment ont-ils évolués ? Quelle est la situation actuelle ? Que deviendront-ils ? En s’efforçant de répondre à ces questions, l’auteur nous amène à regarder d’une autre manière les paysages de la vallée.
21×29,7 cm, 32 p. 45 doc n&b et couleur, 1996.
ISBN : 2-908103-21-4
Epuisé
Le fort de Tournoux
Son histoire, sa construction
Bernard MorelLa cascade de façades ou d’escarpes du fort de Tournoux, remarquablement intégrées à l’éperon rocheux qui les porte, a constitué au milieu du XIXe siècle le noyau du dispositif stratégique de défense de la vallée de l’Ubaye.
21×29,7 cm, 32 p. 84 ill. n&b, 1991 – reprint 2008.
ISBN : 2-908103-13-3
Epuisé
Forts de Roche-la-Croix et du Haut de Saint-Ours
La ligne Maginot en Haute-Ubaye
Bernard Morel, Gérard LesueurL’histoire de la construction du fort, son architecture, des plans, ses moyens de défense et son rôle dans la guerre sur la ligne Maginot.
21×29,7 cm, 32 p. ill. n&b, 1991 – reprint 2008.
Ref : Sab 003
Prix : 6,90 € – port : 2,80 €
ISBN : 2-908103-21-4
Epuisé